Un livre de Liliane Messika:
Lettre ouverte aux antisionistes de droite, de gauche et des autres galaxies
L’antisionisme est considéré comme une opinion politique légitime, différente de l’antisémitisme. L’antisémitisme est un racisme exclusivement pratiqué par l’extrême-droite de race blanche. La notion de race a été tabou entre 1945 et 2010, mais tout a changé dans les années 2010. La race a reconquis ses lettres de noblesse, grâce aux Woke et autres indigénistes, qui ont repris la classification d’Hitler entre humains et sous-hommes, mais en inversant les rôles : les « racisés » sont maintenant gratifiés de toutes les qualités imaginables et les Blancs d’une culpabilité ontologique au nom de laquelle on leur fait payer chèrement leur phototype.
Une seule constante : les Juifs, toujours dans la catégorie haïe, donc inscrits dans le club des nazis, bien que les seuls meurtres racistes qui ont eu lieu en France depuis le début du millénaire ont constitué en victimes juives tuées par des meurtriers musulmans.
Les antisémites viscéraux peuvent se vanter d’avoir attrapé, dans les filets de leur propagande, une race nouvellement identifiée par l’anthropologie : les BIMI, des humains Bien Intentionnés Mal Informés.
Les BIMI sont des individus grégaires, optimistes, sympathiques et humanistes, victimes de l’unanimisme antisioniste de la presse hexagonale, qu’ils n’ont aucune raison a priori de mettre en doute. C’est pour eux que ce livre a été écrit, sous forme d’un voyage initiatique
Publié aux Editions de l’Histoire, 17,50€
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